On 12th June, Beppe Grillo’s Five Star Movement voted overwhelmingly in an online referendum to join the UK Independence Party led Europe of Freedom and Democracy  (EFD) group in the new European Parliament. 78% of Five Star members, or 23,121 people, voted to join Farage’s group. Only 10%, or 2,930 people, voted for the ECR. Five Star bring 17 MEPS to the EFD, which according to a blog emtry by Beppe Grillo, is « open to changing its name. » The same blog also highlighted that Five Star MEPs would be free to vote according to their principles. This is important because of the political differences between UKIP and Grillo’s party.

Read the article Le Mouvement Cinq Étoiles, formation anti-partis de l’ancien comique italien Beppe Grillo, s’est prononcé en majorité, le 12 juin lors d’un référendum en ligne, pour une alliance au Parlement européen avec le mouvement britannique UKIP de l’europhobe Nigel Farage, selon les résultats de cette consultation interne. Les militants du M5S ont suivi en majorité les recommandations de Grillo, lors de ce référendum interne organisé sur le blog de Cinque Stelle. Le tribun britannique a en effet obtenu 23.000 voix sur 29.000 exprimées (près de 80%), alors que 3.533 voix (12%) étaient favorables à rester avec les non inscrits, et 2.930 (10%) souhaitaient une alliance avec les conservateurs.

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In Finland, the latest European Parliament election poll, made on 19th May and by Iltalehti/Tietoykkönen, foresees Kokoomus (National Coalition Party, EPP) in the top position. The distribution of 13 Finnish seats would be the following:  Kokoomus (National Coalition Party, EPP): 23,7% and 4 seats ; Keskusta (Centre Party, ALDE): 18,9% and 3 seats ; Perussuomalaiset (The Finns, EFD): 16% and 2 seats ;  SDP (Socialdemocratic Party, S&D): 15,2% and 2 seats ; Vihreät (Greens, Greens/EFA): 1 seat ; Vasemmistoliitto (Left Alliance, GUE/NGL): 1 seat. Of the current parties in the EP, the RKP (Swedish People’s Party, ALDE) and the KD (Christian-Democrats, EPP) would lose their seats according to the poll.

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 En Finlande, le dernier sondage quant aux résultats des prochaines élections européennes, réalisé le 19 mai par Iltalehti/Tietoykkönen, place Kokoomus (Parti de coalition nationale, PPE) en tête. La distribution des 13 sièges finlandais devrait se faire ainsi: Kokoomus (Parti de coalition nationale, PPE): avec 23,7%, obtient 4 sièges ; Keskusta (Parti du Centre, ADLE): 18,9% et 3 sièges ; Perussuomalaiset (Les Vrais finlandais, MELD): 16% et 2 sièges ; SDP (Parti social-démocrate, PSE): 15,2% et 2 sièges ; Vihreät (Les Verts, PVE): 1 siège et enfin, Vasemmistoliitto (Alliance de gauche, PGE): 1 siège.  Concernant les partis finlandais actuellement au Parlement européen, Le RKP (Parti populaire suédois, ADLE) et le KD   (Chrétiens démocrates, PPE), ils devraient perdre leurs sièges.

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Prime Minister Antonis Samaras heads into elections for the European Parliament on May 25 on the back of the Greece’s first bond auction in four years and with the economy poised to return to growth later this year. However, with more than half the country’s youth still without work, polls suggest voters aren’t ready to credit Samaras for the changes just yet. “The euro crisis seems to be over but its causes have not withered away,” said former Prime Minister Costas Simitis of PASOK, the socialist party that dominated Greek politics for three decades. While New Democracy trails SYRIZA, the opposition group that rejected the terms of the bailout packages, the bigger threat to the government may be the collapse in support for Samaras’s coalition partner PASOK. Papandreou’s PASOK plunged to sixth place with just 5.5 percent of the vote in a recent poll as voters blame the party for the country’s economic meltdown. In the May 10 Kapa Research survey for To Vima newspaper that saw PASOK fall to sixth place, SYRIZA led New Democracy by 23 percent to 21.7 percent. The pollster questioned 1,149 people between May 6 and May 9.

Read the article Alors que la première vente aux enchères d’obligations de la dette grecque en quatre ans s’est récemment tenue, et alors que l’économie grecque s’apprête à renouer avec la croissance cette année, le Premier ministre Antonis Samaras pourrait se diriger rasséréné vers les élections européennes. Cependant, plus de la moitié des jeunes demeure toujours sans emploi dans le pays et les électeurs ne sont pour l’instant pas prêt de créditer Samaras pour les changements positifs à venir. « La crise de l’Euro semble être terminée, mais ses causes n’ont pas dépéri », a déclaré l’ancien Premier ministre Costas Simitis du PASOK, le parti socialiste qui domine la scène politique grecque depuis trois décennies. Devancé par la Nouvelle Démocratie et SYRIZA, le groupe d’opposition qui a rejeté les plans de sauvetage, la plus grande menace pour le gouvernement peut être le volte face des membres de la coalition du PASOK. Ce dernier parti est descendu à la 6ème place avec 5,5% des voix selon un récent sondage. Il s’agit pour les électeurs de punir le gouvernement et par ricochet le parti politique qu’ils estiment à l’origine de la crise économique de leur pays. En effet, selon un sondage de Kapa Research, réalisé entre le 6 et le 9 mai sur 1149 personnes, et publié de 10 mai, tandis que le PASOK chute à la 6ème place, Syriza devance la Nouvelle Démocratie avec 23% contre 21%.

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From 7th to 9th May, hosted by the European University Institute in Florence, front-runner German Social Democrat Martin Schulz, and Luxembourg Christian Democrat Jean-Claude Juncker, were joined by the Belgian Liberal Guy Verhofstadt, and French Green José Bové, for the second presidential debate in the run-up to the EU parliament elections in two weeks  (22-25 May). The only time the candidates showed a divergence of views was on whether countries should be granted greater flexibility to meet the growth and stability pact criteria. Schulz repeated again that the money that governments spend on productive investments should be exempted from debt and deficit calculations in the Eurozone, effectively calling for loosening the debt and deficit ceilings of 60% and 3% of gross domestic product. He was rebuffed by Juncker : « I would not allow more flexibility. Countries have to respect their commitments (…) We cannot spend money we do not have. » Verhofstadt held the same view: no exceptions for any country. Jose Bové, called the ceiling acceptable, if the EU had its own resources that it could devolve to making investments on behalf of national governments.

http://www.rainews.it/dl/rainews/articoli/a-firenze-dibattito-contronto-candidati-elezioni-europee-state-of-the-union-ca37624c-ae49-4ea1-93fc-358dd50a8f36.html?refresh_ce

http://stateoftheunion.eui.eu/Du 7 au 9 mai 2014, les candidats à la présidence de la Commission européenne se sont affrontés lors du deuxième débat à Florence au cours duquel leur convergence de vue est fortement ressortie. Martin Schulz y représentait les sociaux-démocrates, Jean-Claude Juncker les démocrates-chrétiens, Guy Verhofstadt les libéraux et José Bové, les Verts. Comme lors des autres débats, le candidat du Parti de la gauche européenne, le Grec Alexis Tsipras, était absent. Concernant le budget, Le seul point de discorde concernait la souplesse par rapport aux critères appliqués dans le cadre du pacte de croissance et de stabilité. Martin Schulz a, en effet,  répété que l’argent dépensé par les gouvernements dans des investissements productifs devrait être exclu des calculs de dette et déficit dans la zone euro. Pour Jean-Claude Juncker, pas question d’adapter ces règles. « Je ne permettrais pas plus de souplesse [dans l’application des règles budgétaires]. Les pays doivent respecter leurs engagements », a-t-il déclaré. « Nous ne pouvons pas dépenser de l’argent que nous n’avons pas. » Le Belge Guy Verhofstadt partage le même point de vue : aucune exception ne sera tolérée. José Bové a pour sa part indiqué que le plafond serait acceptable si l’Union détenait ses propres ressources qu’elle pourrait décentraliser en investissant au nom des gouvernements nationaux.

http://www.rainews.it/dl/rainews/articoli/a-firenze-dibattito-contronto-candidati-elezioni-europee-state-of-the-union-ca37624c-ae49-4ea1-93fc-358dd50a8f36.html?refresh_ce

http://stateoftheunion.eui.eu/

On 11th May, Greece’s Supreme Court has allowed neo-Nazi party Golden Dawn to participate in upcoming European Parliament elections, a party lawyer said. The authorisation came despite an ongoing criminal probe against the political party, six of whose lawmakers including its leader are in prison awaiting trial. Nearly all the party’s 18 lawmakers are under investigation by Greek justice over serious crimes allegedly committed by the once-fringe party over the past two years, during its rise to prominence. In fact, under Greek law, candidates are only prevented from standing in an election if they are convicted of a crime, not if they are under investigation.

http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_articles_wsite1_1_12/05/2014_539619

Le 11 mai, la Cour suprême grecque a autorisé le parti néo-nazi « Aube Dorée » à participer aux prochaines élections européennes. L’autorisation est prononcée alors que le parti est actuellement au cœur d’une enquête judiciaire. En effet, six de ses membres, dont des députés ainsi que son leader, sont actuellement en prison, dans l’attente de leur jugement. Les 18 députés du parti, quasiment, font l’objet d’une enquête judiciaire quant aux crimes qu’ils auraient commis depuis deux ans alors que leur parti gagnait en importance. Cependant, selon la loi grecque, un candidat ne peut participer à une élection que s’il est déclaré coupable, et non lorsqu’il est soumis à une enquête judiciaire préalable.

http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_articles_wsite1_1_12/05/2014_539619

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The candidate of the European People’s Party (EPP) and former Prime Minister of Luxembourg, Jean-Claude Juncker, took the road on April 8 in Wallonia in a chartered bus to run his campaign for the presidency the European Commission. « Juncker for president » is written in capital letters on the campaign bus. From Brussels, he went to Germany, Poland, Bulgaria, Malta and Cyprus, and so on. He will continue his journey until 25 May.

Follow the campaign trail: http://juncker.epp.eu/ and http://news.epp.eu/zB14p4juncker_bus

Candidat du Parti populaire européen (PPE), l’ancien Premier ministre luxembourgeois, Jean-Claude Juncker, s’est lancé le 8 avril sur les routes de Wallonie à bord d’un bus spécialement affrété pour relever le défi: briguer la présidence de la Commission européenne.  « Juncker for president » est inscrit en lettres majuscules sur le bus de campagne. Parti de Bruxelles, il s’est rendu en Allemagne, en Pologne, en Bulgarie, à Malte et à Chypre, etc. Il continuera sa route jusqu’au 25 mai prochain.

Pour suivre la campagne: http://juncker.epp.eu/  et http://news.epp.eu/zB14p4

 

On 28th April, the eurosceptic alliance stopped at the Augusteo Theater, in Naples, as part of its campaign for the european elections. Giorgia Meloni and Gianni Alemanno have essentially  discussed the economic context in Italy and the new government lead by Renzi. The key argument of their campaign deals with the status of the country within the European Union: « Italy must be respected. Nobody should giving us orders. » This populist alliance is playing- as always – the populist card and declares itself pro « Mezzogiorno » (South), in a country which suffer more and more of the North/South antagonism.
Read the articleL’alliance eurosceptique, dans le cadre de sa campagne aux européennes, a fait étape au Théâtre Augusteo de Naples le 28 avril 2014. Elezioni Europee, Meloni ed Alemanno a Napoli: « Puntiamo sul Sud »
Giorgia Meloni et Gianni Alemanno, personnalités très attendues, ont essentiellement débattu de la situation économique en Italie et des actions du Gouvernement Renzi. L’argument phare de leur campagne concerne la place de l’Italie dans l’Union européenne: « l’Italie doit être respectée. Personne ne doit désormais nous donner des leçons et diriger nos actions ». Cette alliance joue donc la carte populiste, et se déclare pro « mezzogiorno » (Sud), dans une Italie toujours plus affaiblie par les antagonismes Nord/Sud.
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In the run up to the european elections, an opinion poll made by EMG on 22nd April have shown the Democratic Party (PD) in steady lead, with 33%, with the Five Star Movement (23,4%) and Forza Italia (20,3%) tied for second place.

http://sondaggibidimedia.com/2014/04/23/sondaggio-emg-per-la7-elezioni-europee-prosegue-la-crescita-del-m5s/Le 22 avril 2014, à un mois des élections européennes, le sondage EMG pour la chaîne de télévision privée La7, annonce 33,8% d’intention de vote pour le parti Démocrate (-0,6% depuis le 13 avril), 23,4% pour le Mouvement cinq étoiles (+0,5%) et toujours 20,3% pour Forza Italia. Enfin, on note que « l’Autre Europe avec Tsipras » grimpe et atteint aujourd’hui les 4% (+0,6%).

Sondage

La sélection des têtes de liste du parti piloté par Pierre Larrouturou a eu lieu les 5 et 6 avril. Les noms des personnalités retenues devraient être annoncés officiellement lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale mercredi 23 avril. Des personnalités en majorité étrangères au monde politique ont été retenues. Pour l’ Ile-de-France : Pierre Larrouturou, Grand-Est : Isabelle Maurer, Ouest : Emmanuel Poilane, Sud-Est : Jean-Baptiste Coutelis, Sud-Ouest : Joseph Boussion, Centre : Laurence Hermant-Danieau, Nord-Ouest : Arthur Devriendt.

Alors que le pays connait, entre autres, une sixième année consécutive de récession (depuis 2008, le PIB grec s’est contracté de 25 %), les électeurs grecs sont appelés à élire 21 eurodéputés (contre 22 en 2009). Selon Kapa Research, l’Aube dorée serait le 3e parti aux élections européennes avec 7,9% derrière Nouvelle Démocratie (23%) et Syriza (22,4%). A noter que le chef de l’Aube dorée, Mr. Michalolikos, est en prison. Le scrutin européen, qui se déroule au même moment que des élections locales, devrait confirmer le changement radical du paysage politique grec observé depuis les deux scrutins législatifs de 2012. Syriza devrait, en effet, confirmer qu’il supplante le PASOK à gauche. Quelques doutes subsistent sur la présence ou non d’Aube Dorée (dont 6 des 18 députés dorment en prison) mais un nouveau mouvement, baptisé Aube Nationale, pourrait voir le jour en cas d’interdiction d’Aube Dorée. Voir le sondage